Chercher des résultats pour enregistrer nom domaine

Les premiers noms de domaine en caractères non latins. Annoncées lors d’une conférence à Séoul, l’ouverture des dépôts de noms de domaine en caractères non latins vient d’être acceptée par l’ICANN. Trois pays arabes en ont eu l’exclusivité, l’Arabie Saoudite, les Emirats arabes et l’Egypte et un premier site, celui du ministère de la communication Egyptienne. Avec plus d’1,6 milliards d’internautes utilisant une écriture non latine, d’autres pays tels que la Russie, la Chine, le Sri Lanka, le Japon ou encore la Thaïlande, devraient prochainement pouvoir enregistrer des noms de domaine dans leur écriture.

Le nom de domaine fredericlefebvre.fr, cybersquatté. Frédéric Lefebvre, porte parole de l’UMP n’avait pas protégé son nom de domaine fredericlefebvre avec l’extension .fr, un anonyme a profité de l’occasion pour l’enregistrer et le cybersquatter. Ne se limitant pas à une copie du site officiel (www.fredericlefebvre.com) de l’homme politique, le cybersquatter a publié un édito relevant notamment l’incohérence de l’oubli du dépôt du nom de domaine dans l’extension française .fr en plein débat sur l’identité nationale.

Pour enregistrer un nom de domaine, on doit aujourd’hui choisir parmi les seuls caractères de l’alphabet latin. La situation pourrait changer en 2010 car l’Icann s’apprête à rendre possible l’utilisation de caractères chinois, ou arabes par exemple. Logique quand on sait que plus de la moitié des utilisateurs d’internet sont familiers d’autres alphabets que le nôtre.

On parle régulièrement de cyberquatting à l’occasion de procédures opposant les ayant-droit d’une marque ou d’une personne qui font l’objet de dépôts de noms de domaine litigieux. Les façons de squatter un nom de domaine sont très nombreuses, en voici quelques exemples, à ne pas reproduire bien entendu !

Le portail nom-domaine.fr élargit son offre. Ce bureau d’enregistrement de noms de domaine agréé par l’Afnic, vient tout juste de mettre son identité visuelle à jour en changeant complètement sa charte graphique. Comme un changement n’arrive pas seul… Le portail se voit également proposer de nouveaux services à ses clients.

On ne pourra bientôt plus tester son nom de domaine. L’ICANN a en effet pris des mesures pour mettre fin au “domain tasting”, qui consiste à enregistrer un grand nombre de noms de domaine, d’en mesurer le potentiel et de ne garder que le meilleur avant la fin du délai de rétractation de 5 jours (Add Grace Period : AGP). Elle a avait décidé en juin 2008 que les entreprises qui profitaient de l’AGP pour abandonner un trop grand nombre de noms de domaine enregistrés se verraient en partie facturées de leurs abus. D’après une récente publication de l’ICANN, les bureaux d’enregistrement qui ont appliqué cette mesure ont constaté – sur un an – un recul de plus de 99% du “domain tasting” !  

Le marché des noms de domaine est toujours en pleine expansion, tout comme le second marché des noms de domaine (revente de noms de domaine déjà enregistrés). Il est donc de plus en plus difficile de trouver un nom de domaine disponible notamment parmi les noms de domaine génériques.

Le dépôt d’une marque en Allemagne s’effectue auprès de l’Office Allemand des Brevets et des Marques (DPMA), autorité fédérale subordonnée au ministère fédéral de la justice. Le dépôt peut être effectué par une personne morale ou un particulier. Cependant si la personne n’est pas domiciliée en Allemagne, elle doit désigner un mandataire agréé par l’Office.

L’organisme fédéral chargé d’enregistrer les marques au Canada est le Bureau des marques de commerce. Il fait partie de l’Office de la Propriété Intellectuelle du Canada (OPIC).

Dans l’optique de simplifier et de standardiser ses procédures de travail avec les différents bureaux d’enregistrement, l’AFNIC lance fin mars sa nouvelle interface d’enregistrement basée sur le protocole EPP. Détails et explications.